1

ALUMINIUM

et

vaccins

Jean PILETTE

Docteur en médecine

Membre du E.F.V.V. (European Forum for Vaccine Vigilance)


Belgique

22-11-2004

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ALUMINIUM et vaccins

TABLE DES MATIERES

PAGE

 

ALUMINIUM 

: Etat naturel – Extraction – UtilisatioN

    3

 

ALUMINIUM  :

ROLE DANS CERTAINES PATHOLOGIES

    4

 

Aluminium 

: voies d’absorption

    7

 

Aluminium

dans le sang

    13

 

ALUMINIUM :

ELIMINATION

    15

 

ALUMINIUM

ET BARRIERE SANG-CERVEAU

    16

 

ALUMINIUM

ET VACCINS

    18

EN Resume 34

CONCLUSIONS 36

Annexes 37

Bibliographie 40

ALUMINIUM  : Etat naturel – Extraction - Utilisation

L’aluminium est, sur notre terre, le plus abondant des métaux. Dans la nature, il n’existe pas à l’état libre. Combiné à l’oxygène, au fluor et au silicium, il constitue environ 8 % de l’écorce terrestre.

L’aluminium est le 13ième élément du tableau de Mendeleïev, situé entre le magnésium, 12ième élément, et le silicium, 14ième élément. Avec un poids spécifique de 2,699 à 20°C, c’est un des métaux les plus légers.

L’aluminium pur fut pour la première fois publiquement présenté à l’Exposition Universelle de Paris en 1855. HEROULT en France et HALL aux USA brevetèrent indépendamment en 1886 un procédé d’obtention électrolytique de l’aluminium au départ d’oxyde d’aluminium dissout dans de la cryolithe fondue. Ce procédé fut supplanté par celui de Karl-Joseph BAYER qui déposa en Autriche en 1888 un nouveau brevet pour l’extraction de ce métal. Le procédé de BAYER consiste à extraire l’aluminium de la bauxite, un minerai d’oxyde d’aluminium, grâce à une série de réactions nécessitant de très hautes températures.


L’aluminium est un métal léger, très malléable, bon conducteur de la chaleur et de l’électricité. Ces propriétés permettent de l’employer pour de nombreux usages. On le retrouve dans l’industrie des moyens de transport (vélos, motos, automobiles, avions), dans l’industrie du bâtiment, dans l’industrie électrique, dans l’industrie de l’armement. Il entre dans la fabrication de nombreux ustensiles de cuisine et d’appareils électro-ménagers. Il sert à divers emballages et intervient notamment dans le conditionnement de multiples denrées alimentaires aussi bien liquides que solides. On le retrouve ainsi dans les cannettes, les boîtes de conserves, les feuilles d’aluminium, les barquettes et les platines en aluminium.

Sous forme de chlorure, l’aluminium sert de catalyseur. Sous forme d’alun, un sulfate double d’aluminium et de potassium, l’aluminium est utilisé pour précipiter les impuretés des eaux souillées ; rendues ainsi « potables », ces eaux traitées sont alors injectées dans le réseau de distribution qui dessert les consommateurs. Sous forme d’alliages, l’aluminium sert en dentisterie pour la réalisation de prothèses et d’appareils dentaires. On peut aussi le retrouver dans des prothèses utilisées en chirurgie orthopédique. Il entre également dans la composition de pesticides, de médicaments, de déodorants, de pommades, de dentifrices, de vaccins…

ALUMINIUM  : ROLE DANS CERTAINES PATHOLOGIES

Le rôle biologique de l’aluminium n’est pas connu. On ignore la fonction qu’il pourrait exercer à l’état de traces dans l’organisme humain. Par contre l’on sait que son accumulation peut être à l’origine de diverses pathologies. C’est pour cette raison que, depuis quelques décennies, ce métal a retenu l’attention de nombreux chercheurs dans le domaine de la santé.


Chez les dialysés rénaux une série de troubles, essentiellement de trois types, apparaissaient après un certain temps : une anémie, une ostéomalacie (ramollissement des os) et une encéphalopathie (atteinte du cerveau) que l’on a aussi appelée « démence des dialysés » 1,2. On s’est aperçu que ces malades accumulaient l’aluminium. Leur système rénal ne parvenait pas à éliminer ce métal et la quantité importante d’aluminium que leur apportait l’eau de dialyse augmentait leur problème 3,4. Il s’agissait donc d’une véritable intoxication à l’aluminium que l’on a cherché à traiter par des mesures diététiques 5 et avec des médicaments chélateurs de l’aluminium 6,7.


La maladie d’Alzheimer est une maladie du système nerveux central. Des pertes de mémoire, une tendance à la désorientation, une confusion mentale et souvent une dépression en constituent les premiers symptômes. Elle évolue en une détérioration progressive des facultés intellectuelles. C’est la plus courante des démences des personnes âgées. Les cellules du cerveau de ces patients contiennent jusqu’à 20 fois plus d’aluminium que celles des sujets normaux 8,9.

Une fréquence élevée de maladie d’Alzheimer a été constatée dans des populations buvant une eau de boisson contenant plus de 100 microgrammes d’aluminium par litre 10,11.


Des régions de l’ouest du Pacifique, la péninsule Ki au Japon, l’ouest de la Nouvelle-Guinée et la plupart des îles de l’archipel des Mariannes, ont un sol et de l’eau riches en aluminium, manganèse, fer et silicium et pauvres en calcium, magnésium et zinc. On constatait dans ces régions une fréquence particulièrement élevée de deux maladies de dégénérescence du système nerveux central : la sclérose latérale amyotrophique, caractérisée par une paralysie ascendante et progressive, et la maladie de Parkinson, maladie caractérisée par du tremblement et de la rigidité musculaire, conséquences de la destruction de certains noyaux centraux du cerveau 12,13,14,15 .

Un dépôt anormal d’aluminium a été retrouvé dans le cerveau de patients de ces régions atteints de l’une de ces deux maladies 16,17,18,19 .

L’étude approfondie de nombreux de ces cas a permis de comprendre que la haute incidence de ces deux maladies dans ces régions était plus le fait de facteurs environnementaux que de la présence de facteurs génétiques 20,21,22,23.

Un changement des habitudes alimentaires et de l’approvisionnement en eau potable de ces populations, dû à leur occidentalisation rapide après la seconde guerre mondiale, a provoqué, dans ces régions, une baisse spectaculaire de la fréquence de la maladie de Parkinson et de la sclérose latérale amyotrophique 12,24,25.

On a cherché à mettre des animaux dans des conditions alimentaires analogues à celles qu’avaient connues ces populations de l’ouest du Pacifique. Les expérimentations, tant sur le rat que sur le singe, ont confirmé le rôle prépondérant de l’alimentation dans la genèse des maladies du système nerveux qui affectaient ces populations 26,27,28,29.


On soupçonne donc l’aluminium de jouer un rôle dans l’éclosion de certaines formes de démence et de dégénérescence du système nerveux central 30,31,32,33,35,36.

L’aluminium possède une action délétère sur les astrocytes, cellules nourricières du cerveau. Des expériences sur cultures de tissu ont montré que de fortes doses d’aluminium provoquaient la dégénérescence de ces astrocytes et, par voie de conséquence, la mort du tissu nerveux qu’ils nourrissent 37.

Les astrocytes sont reliés entre eux par un réseau de prolongements cytoplasmiques par où peuvent transiter les éléments nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux comme les ions, les métabolites, les hormones. Cette communication intercellulaire entre astrocytes est entravée lorsque ces cellules sont exposées à l’aluminium 38 .

Des expériences sur le rat ont montré que l’aluminium accélère le processus de vieillissement des structures nerveuses du cerveau 39 .


L’aluminium peut s’accumuler dans de nombreux organes et y provoquer des dégâts. Les organes les plus souvent touchés sont le cerveau 35, les glandes parathyroïdes 1, les reins et les poumons. Il peut aussi s’accumuler dans les os 40 , plus particulièrement chez les dialysés diabétiques 41 .




L’aluminium interfère avec le métabolisme du fer 42,43,44,45,46,57 , avec celui du fluor 47,48, du phosphore 49,50,51,52 , du calcium 50,53,54,55 , du vanadium 56, du cuivre 57 , du silicium 58,59 , ce qui peut donner lieu à de multiples désordres.


L’aluminium interfère aussi avec le métabolisme de certains acides aminés présents dans le sang 60 et provoque des changements de structure dans des lipoprotéines du sang, les HDL, celles qui transportent le « bon » cholestérol 61 .


L’aluminium peut perturber le fonctionnement de toute une série d’enzymes.

C’est notamment le cas pour les enzymes nécessaires aux réactions chimiques dont la cellule tire son énergie. Chaque cellule de notre organisme possède les mêmes systèmes de réactions chimiques qui lui permettent d’oxyder les substances nutritives et d’en receuillir l’énergie. Sucres, graisses et acides aminés peuvent ainsi être métabolisés dans la cellule et donner de l’énergie.

Sous l’effet de l’aluminium, les enzymes qui interviennent dans ces réactions en chaîne sont perturbés, certains voient leur activité s’accroître, d’autres voient leur activité décroître 62, ce qui peut provoquer un véritable chaos. Une autre conséquence de l’effet de l’aluminium sur certains des enzymes de cette chaîne est la formation de composés chimiques très réactifs, les radicaux libres, qui lèsent toutes les membranes de la cellule 63 .

On voit que l’aluminium, en perturbant le fonctionnement des enzymes, s’attaque à une fonction vitale de la cellule : la production d’énergie.



















Aluminium  : voies d’absorption




L’aluminium peut être absorbé par plusieurs voies.



  1. L’ INHALATION


L’aluminium peut être absorbé à partir de l’air par le nez et la bouche.


Si l’air contient peu d’aluminium, ce qui est habituellement le cas, la quantité absorbée est minime. Mais si l’air contient des quantités importantes de poussières d’aluminium, ce qui est le cas dans beaucoup d’installations de l’industrie de l’aluminium, comme, par exemple, les mines 64 ou les usines électrolytiques 65 , la quantité absorbée peut être importante. L’aluminium s’accumule alors principalement dans les voies respiratoires 66 et dans les poumons, y créant de la fibrose 67 . Il peut aussi provoquer des symptômes nerveux comme des maux de tête, de l’irritabilité, des insomnies et des troubles de concentration 68.

L’aluminium contenu dans l’air est capable également, par la voie nasale, de passer directement dans le cerveau en suivant le trajet du nerf olfactif 69,70.

Des pesticides contenant de l’aluminium peuvent aussi provoquer des intoxications par inhalation. L’un deux, le phosphure d’aluminium, utilisé contre les rongeurs, s’avère être particulièrement toxique. Une exposition aiguë à ce produit provoque des anomalies du taux de sucre sanguin 71, une chute du magnésium sanguin 72 , de la myocardite avec troubles du rythme cardiaque 73 et bien souvent la mort 74. La toxicité du produit provient de l’aluminium qui s’accumule dans le sang, le foie et le cerveau et de la phosphine, gaz toxique libéré lors de l’emploi de ce pesticide 75.




  1. LE CONTACT PAR LA PEAU ET LES MUQUEUSES



L’aluminium est facilement absorbé par la peau. Cela se produit notamment lors de l’usage de produits anti-sudorifiques contenant de l’aluminium. Utiliser quotidiennement ces produits multiplierait la probabilité de développer une maladie de type Alzheimer 76 .

L’aluminium peut être absorbé par la muqueuse rectale lors de l’emploi de suppositoires ou de pommades anti-hémorroïdaires qui en contiennent.


La muqueuse vaginale peut également absorber l’aluminium. Si les douches vaginales avec des produits contenant de l’aluminium sont fréquentes, elles peuvent causer de sérieux problèmes 77,78 .


La muqueuse vésicale est capable aussi d’absorber l’aluminium. On a décrit le cas d’un homme dont la fonction rénale était déficiente et qui souffrait d’un cancer de la vessie. Comme il y avait du sang dans ses urines, on lui prescrivit des lavages de vessie avec une solution d’alun à 1%. Le traitement dura deux jours et le troisième jour il mourut d’une intoxication aiguë à l’aluminium 79.

Un cas similaire d’intoxication à l’aluminium à partir de la muqueuse vésicale fut décrit chez un patient souffrant, lui aussi, d’insuffisance rénale. Il présenta une hématurie qui fut, elle aussi, traitée par des lavages de vessie avec une solution d’alun à 1 % pendant deux jours. Il s’ensuivit un taux élevé d’aluminium dans son sérum. Malgré des médicaments chélateurs de l’aluminium et des séances d’hémodialyse on ne put améliorer son état et il décéda. L’autopsie révéla dans son cerveau un dépôt excessif d’aluminium 80 .


L’aluminium peut aussi entrer en contact avec un autre tissu, le tissu osseux, qui n’est ni la peau, ni une muqueuse. C’est le cas en chirurgie osseuse, lors de l’utilisation de prothèses métalliques contenant de l’aluminium. Elles peuvent être mal tolérées, créer une inflammation et, par libération de l’aluminium de la prothèse, provoquer des perturbations biologiques 81 .





  1. L’INGESTION PAR LA BOUCHE


C’est par la bouche que l’aluminium est le plus souvent absorbé.


Les concentrations d’aluminium dans les aliments varient largement selon leur nature (0,007 – 69,5 mg / 100 g). Par exemple on trouve des niveaux élevés d’aluminium dans les noix, les graines et les produits laitiers, surtout les fromages fondus 82. La feuille de thé est particulièrement riche en aluminium 83,84 . Les thés noirs contiennent beaucoup plus d’aluminium que les thés verts 85,86 . Les grands consommateurs de thé peuvent absorber une quantité importante d’aluminium 87 .

L’apport d’aluminium par la nourriture a fait l’objet de plusieurs études. Aux USA une étude de 1988 cite le chiffre de 9 mg / jour pour les adolescentes et femmes adultes, et les chiffres de 12-14 mg / jour pour les adolescents et hommes adultes 82.

Une étude plus récente de 1995 avance celui de 7 mg / jour pour les femmes adultes et ceux de 8-9 mg / jour pour les hommes adultes 88.

Une étude chinoise cite, pour des adultes, les chiffres de 4-10 mg / jour 89 .

On peut donc considérer que la quantité d’aluminium apportée par la nourriture est d’environ 8 mg par jour.


La quantité d’aluminium ingérée provient pour 95 % des aliments et pour 5 % de l’eau de boisson. En Europe on a calculé que, pour les adultes, l’eau de boisson apportait moins de 5 % de la quantité totale d’aluminium absorbée par la bouche. Mais l’aluminium dissout dans l’eau se trouve sous une forme particulièrement biodisponible, très facilement absorbée par les muqueuses digestives 90. C’est pourquoi il a été jugé nécessaire de définir des normes de concentration d’aluminium pour l’eau potable.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime que les études, qui mettent en relation une eau de boisson contenant plus de 100 microgrammes d’aluminium par litre avec un risque accru de maladie d’Alzheimer, ne permettent pas, « pour toute une série de raisons concernant la méthodologie », de calculer avec précision ce risque. L’OMS juge que les grandes stations d’épuration sont capables de distribuer une eau contenant au maximum 100 microgrammes d’aluminium par litre, mais reconnaît que, pour les petites stations d’épuration, il pourrait y avoir des difficultés techniques à obtenir ce résultat. Elle recommande alors, pour ces petites stations, de ne pas dépasser 200 microgrammes d’aluminium par litre d’eau potable 91 .

La première conférence internationale concernant le rôle néfaste des métaux sur le système nerveux central et qui avait pour titre « Métaux et le Cerveau » (Université de Padoue, 20-23 Sept 2000), préconise, elle, de ne pas dépasser dans l’eau de boisson la dose de 50 microg / litre.

Pour les dialyses rénales certains recommandent une eau contenant moins de 30 microg d’aluminium / litre, d’autres recommandent même moins de 10 microg / litre.

Tous les médicaments qui contiennent de l’aluminium, notamment les médicaments anti-acides, largement utilisés comme pansements gastriques, peuvent augmenter d’une façon non négligeable l’apport quotidien d’aluminium et constituer un facteur favorisant la maladie d’Alzheimer 76,92,93, aussi bien chez les patients qui ont une fonction rénale altérée que chez les personnes ayant une fonction rénale normale 94.

Il faut aussi se méfier des additifs alimentaires à base d’aluminium qui peuvent augmenter de façon notable la quantité d’aluminium contenue dans les aliments. Voici les additifs à base d’aluminium les plus couramment utilisés : E173-Aluminium, E520-Sulfate d’aluminium, E521-Sulfate d’aluminium sodique, E522-Sulfate d’aluminium potassique, E523-Sulfate d’aluminium ammonique, E541-Phosphate acide d’aluminium sodique et Phosphate basique d’aluminium sodique, E554-Silicate alumino-sodique, E555-Silicate alumino-potassique, E556-Silicate alumino-calcique, E559-Silicate d’aluminium.


Le matériel de cuisine fabriqué à base d’aluminium (casseroles en alu, feuilles en alu, poëles « qui n’attachent pas » et dont le revêtement s’érode à l’usage, percolateurs de café 95 …) peut également être une source d’aluminium dans l’alimentation, surtout si les aliments mis en contact avec ce matériel, sont salés ou acides et qu’ils sont chauffés.

L’aluminium ne passe pas dans le sang quand il est dans l’estomac 96. Dans l’intestin la plus grande partie de l’aluminium prend une forme insoluble et sera donc éliminée par les selles. Seule la petite partie d’aluminium liée aux molécules organiques des sucs de l’estomac est capable de rester soluble dans le milieu alcalin de l’intestin grêle. Cette partie reste donc disponible pour passer dans le sang à travers la paroi intestinale 97. La proportion d’aluminium ingéré qui passe effectivement dans le sang varie avec de nombreux facteurs.


L’aluminium peut se lier à de nombreux acides organiques : acide citrique, acide ascorbique, acide lactique, acide malique, acide oxalique, acide tartrique, acide gluconique. L’absorption de l’aluminium au niveau intestinal est facilitée en présence de ces acides 98,99, particulièrement en présence de l’acide citrique 99,100,101,102,103, de l’acide ascorbique 98,104 et de l’acide malique 105. Boire de l’eau contenant de l’aluminium agrémentée d’un jus d’orange augmente de 8 fois l’absorption de l’aluminium de l’eau par la muqueuse digestive 106 . La rondelle de citron ajoutée au thé facilitera de même le passage à travers la muqueuse digestive de l’aluminium contenu dans la feuille de thé.

Par contre sous forme de phosphate 107,108 ou de silicate 109, l’aluminium passe plus difficilement la barrière intestinale.


Chez les personnes en bonne santé le pourcentage d’aluminium qui passe dans le sang diminue si la dose ingérée augmente 110.

Chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale chronique 111,112,113 ou d’urémie 114,115 , l’aluminium passe plus facilement dans le sang que chez des personnes ayant une fonction rénale normale.

Des modifications de la perméabilité de la muqueuse intestinale favorisent le passage d’aluminium dans le sang. Cela peut se voir lors de gastro-entérite, d’entéropathie et de toute autre perturbation intestinale 116.


Dans certaines maladies, comme la maladie d’Alzheimer 117 ou le syndrome de Down 118, l’absorption intestinale de l’aluminium est augmentée. Dans ces deux maladies existe un métabolisme anormal du calcium intracellulaire 119. On peut se demander si cette altération métabolique n’est pas due à une intoxication aluminique puisque l’aluminium altère le métabolisme du calcium de la cellule 55.


L’être humain peut déjà être soumis à une exposition anormale d’aluminium au cours de sa vie intra-utérine. L’aluminium pris par une femme enceinte sous quelque forme que ce soit, aliments, médicaments, produits anti-sudorifiques, produits cosmétiques, peut passer la barrière foeto-placentaire et s’accumuler dans le fœtus. Chez des enfants dont la mère avait pris pendant la grossesse des médicaments anti-acides à base d’aluminium, on a décrit un syndrome de retard de croissance, avec malformations et ossification tardive, dû à l’accumulation de cet aluminium dans leur organisme 120.


L’analyse de différentes préparations commerciales d’aliments pour nourrissons a montré que ces préparations pouvaient contenir jusqu’à 500 microg d’aluminium / litre alors que le lait maternel ne contient que 49 microg d’aluminium / litre 121. Parmi ces préparations, ce sont celles à base de soya qui contiennent le plus d’aluminium 122. Les nourrissons risquent ainsi de recevoir une dose d’aluminium 10 fois supérieure à celle qu’ils auraient avec le lait maternel. Les troubles de reflux gastrique sont fréquents chez les nourrissons et, pour résoudre ce problème, la prescription s’oriente souvent vers des médicaments anti-acides contenant de l’aluminium 123 .

L’intoxication aluminique chez un nourrisson est une pathologie qui peut donc avoir différentes causes et qu’il ne faut pas négliger.



  1. L’INJECTION


Une autre voie d’absorption de l’aluminium est l’injection : voie intra-veineuse lors de perfusions, voie intra-musculaire ou sous-cutanée pour certains médicaments. L’injection d’un vaccin contenant de l’aluminium constitue un apport d’aluminium qu’il ne faut pas sous-estimer.


Les prématurés sont particulièrement sensibles à l’intoxication par l’aluminium 124 . Une étude comparative portant sur l’alimentation de prématurés au moyen de perfusions, a révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois dont les perfusions contenaient de l’aluminium 125 . Bien que l’on ait réduit la quantité d’aluminium dans beaucoup de solutions nutritives parentérales, on a remarqué que les enfants nourris avec ces solutions améliorées présentaient malgré tout un taux élevé d’aluminium dans le sang et que l’on ne pouvait exclure une accumulation d’aluminium dans leurs tissus 126 . Une alimentation artificielle des prématurés ne prenant pas en compte ces faits risquerait de favoriser ultérieurement chez eux l’apparition d’une démence  127 .

Aluminium dans le sang




Quand on parle d’aluminium dans le sang on parle généralement d’aluminium plasmatique, c’est-à-dire d’aluminium contenu dans le plasma sanguin, ou d’aluminium sérique, c’est-à-dire d’aluminium contenu dans le sérum sanguin.


Le plasma est la partie liquide du sang dans laquelle se trouvent en suspension les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.

Lors de la coagulation du sang, phénomène très complexe, le sang se divise en deux parties : un caillot solide et un liquide jaune citrin appelé sérum. Le caillot solide est formé par les globules et les plaquettes emprisonnés dans un réseau de fibrine. C’est le fibrinogène du plasma sanguin qui, à la suite d’interventions complexes d’autres composants de ce plasma, donne naissance à la fibrine.

Le sérum sanguin diffère du plasma sanguin par l’absence de fibrinogène. Le volume occupé par le fibrinogène étant minime, sérum et plasma ont à peu près le même volume.


La teneur du sang en aluminium varie suivant les individus.


On estime comme normal un taux d’aluminium sérique de 1 à 5 microgrammes par litre 106,128. Une étude polonaise cite, pour des adultes en bonne santé, le chiffre moyen de 2,25 microgrammes d’aluminium par litre de sérum 129 .

Les laboratoires d’analyses médicales indiquent comme limite supérieure de la normale 10 microgrammes d’aluminium par litre de sérum.

Un taux de 15 microgrammes d’aluminium par litre de sérum serait le taux maximum admissible 130 .

A partir de 60 microgrammes d’aluminium par litre de sérum, apparaissent des symptômes neurologiques 130 .

Au-delà de 100 microgrammes d’aluminium par litre de sérum, apparaissent des signes d’encéphalopathie 130 .



Le tableau 1 résume ces données.




TABLEAU 1


QUANTITE d’Aluminium

dans le sérum SANGUIN

(en microg / litre)



Signification

de cette quantité


1 - 5


Taux normal



10


Limite supérieure de la normale



15



Taux maximal admissible


A partir de 60


Taux à partir duquel

les fonctions supérieures sont altérées (Troubles neurocognitifs et psychomoteurs )



> 100



Taux au-delà duquel

peut se voir une encéphalopathie

(démence progressive,

dégénérescence du système nerveux central)




Lorsque l’aluminium, introduit par l’une ou l’autre voie dans l’organisme, se retrouve dans la circulation sanguine, il se lie à certaines protéines du plasma sanguin, particulièrement à l’albumine et à la transferrine, protéine qui a pour fonction de transporter le fer 131,132.

Dans le sérum humain normal, l’aluminium se lie pour 60 % à la transferrine, pour 34 % à l’albumine, et pour le reste au citrate 133.

Lorsque l’aluminium se lie à la transferrine il prend la place du fer qui n’est alors plus transporté vers les parties du corps qui en ont besoin 134,135. L’anémie que l’on voit chez les intoxiqués à l’aluminium s’explique donc par cette liaison de l’ion aluminium à la transferrine, ce qui crée une anémie de type microcytaire par manque de fer. Mais l’aluminium peut aussi attaquer directement les parois des globules rouges sanguins 136 , rendant fragiles ces globules et créant, en plus de l’anémie microcytaire, une anémie de type hémolytique 137.









Aluminium   : ELIMINATION

L’aluminium ingéré par la bouche et qui n’a pas su passer dans le sang est excrété par les matières fécales.

L’aluminium passé dans le sang et véhiculé par lui est éliminé en grande partie par les reins 138. La présomption que tout l’aluminium absorbé est éliminé par l’urine est fausse 90.


L’élimination de ce métal est fort variable suivant les individus et suivant la voie d’absorption de ce produit.

La qualité du filtre rénal est de première importance pour pouvoir éliminer dans les délais les plus courts l’aluminium excédentaire passé dans le sang.


Un taux élevé de silicium sanguin abaisse le taux sérique d’aluminium chez des patients en dialyse 139.


L’acide silicique, pris par la bouche, permet non seulement d’entraîner une partie de l’aluminium sous forme de silicates dans les matières fécales, mais aussi d’agir sur les reins en inhibant la réabsorption de l’aluminium au niveau des tubes contournés, ce qui a pour conséquence de permettre une élimination accrue de ce métal 140 .





ALUMINIUM ET BARRIERE SANG-CERVEAU


Le cerveau est composé de deux grandes sortes de cellules, les neurones, cellules nobles qui assurent la fonction nerveuse proprement dite, et des cellules servant à la fois de squelette et de tissu nourricier. Parmi ces dernières, nous trouvons les astrocytes dont nous avons déjà parlé. Ce sont des cellules qui possèdent un corps volumineux et de nombreux prolongements grêles et ramifiés. Certains prolongements des astrocytes sont en contact avec les cellules endothéliales qui tapissent les parois des capillaires sanguins situés à la périphérie du cerveau. Ces prolongements des astrocytes et les cellules endothéliales des capillaires forment un réseau qui constitue une barrière, la barrière sang-cerveau, encore appelée barrière hémato-encéphalique.

Cette barrière a pour fonction de protéger le cerveau en empêchant les substances nocives pour lui d’y entrer, et en laissant passer les substances bénéfiques.

Elle laisse passer, tant du sang vers le cerveau que du cerveau vers le sang, toute une série de substances indispensables au bon fonctionnement soit du cerveau, soit du reste du corps. Il peut s’agir de substances nutritives, de minéraux, de vitamines, d’hormones, de certaines protéines.


Nous avons déjà parlé de la capacité de l’aluminium à se lier à la transferrine en lieu et place du fer. Cela permet à cet aluminium de se déposer partout dans l’organisme où se trouvent des récepteurs de la transferrine. La transferrine constitue donc un moyen de transport de l’aluminium vers les différents organes, en particulier vers le cerveau dont certaines régions possèdent une forte proportion de récepteurs de la transferrine. C’est ainsi que l’on peut retrouver de grandes quantités d’aluminium dans ces régions du cerveau 42.

La capacité de l’aluminium à se lier à la transferrine lui donne un premier moyen d’entrer dans le cerveau. La détérioration de la barrière hémato-encéphalique lui en donne un autre. En effet, malheureusement, beaucoup de facteurs peuvent diminuer l’efficacité de cette barrière, permettant alors l’irruption dans le cerveau de substances qui ne devraient pas y pénétrer.

L’aluminium est un métal qui, par lui-même, peut diminuer l’efficacité de cette barrière sang-cerveau 141,142,143,144 . L’aluminium peut agir, soit en augmentant la diffusion transmembranaire pour la plupart des substances diffusibles, soit en perturbant sélectivement le transport de certaines substances. L’aluminium peut donc être considéré comme une véritable toxine de membrane 145.


La barrière sang-cerveau peut également être altérée par des parties microbiennes 146. Elle peut aussi s’altérer lors de crises d’épilepsie 147. Des expérimentations d’hypertension transitoire provoquée sur le rat, par ligature d’artère ou par injection d’adrénaline, ont débouché sur une altération de cette barrière avec dommage permanent aux cellules nerveuses 148,149.


Une pollution invisible, celle des ondes électromagnétiques dans la bande des hyperfréquences est encore un facteur capable d’altérer la barrière hémato-encéphalique. Ces hyperfréquences sont utilisées notamment pour les fours à micro-ondes, pour les téléphones DECT sans fil, pour la téléphonie mobile (GSM-UMTS) et pour les ondes radar.


Les hyperfréquences ont de nombreux effets sur l’organisme, notamment sur le système nerveux. Leur action la plus immédiate est de provoquer un changement dans la perméabilité de cette barrière sang-cerveau. Ce changement de perméabilité peut aboutir à ce que des constituants du sang, par exemple des sucres, voient leur flux augmenter ou diminuer à travers cette barrière 150,151,152 , ce qui perturbe le bon fonctionnement du cerveau et de l’organisme.


La modification de la perméabilité de la barrière sang-cerveau par les hyperfréquences peut aussi amener des substances, normalement confinées dans le sang, à faire brusquement irruption dans le cerveau. C’est ainsi que l’albumine, la plus abondante des protéines du sang, arrive à pénétrer dans le cerveau dont elle est normalement exclue 153,154,155 . Elle s’y comporte alors comme un véritable poison, une neurotoxine dont la toxicité est proportionnelle à sa concentration 156. Comme 34 % de l’aluminium sérique est lié à l’albumine, et que, sous l’effet des hyperfréquences, de l’albumine pénètre dans le cerveau, de l’aluminium y pénètre également, provoquant des dégâts au cerveau, dégâts qui s’ajoutent à ceux occasionnés par l’albumine.


Les expérimentations sur l’effet des hyperfréquences ont montré qu’elles provoquaient déjà des effets biologiques à de faibles doses de puissance, comme les doses engendrées par l’utilisation normale d’un GSM 157 . Une courte exposition à de faibles doses émises par un téléphone portable peut déjà provoquer des troubles du sommeil, objectivables par électro-encéphalographie 158,159.


Comme nous l’avons montré, aluminium et hyperfréquences sont tous deux toxiques pour le système nerveux central. Un de leurs effets, le plus sournois et peut-être le plus dangereux, est la modification de la barrière hémato-encéphalique, barrière de protection indispensable pour le cerveau. La question se pose dès lors de savoir si la combinaison d’un environnement d’hyperfréquences et d’une vaccination avec un vaccin contenant de l’aluminium ne constitue pas une véritable bombe à retardement.



Aluminium et vaccins






L’aluminium est ajouté aux vaccins dans le but d’augmenter la réaction du système immunitaire et de faciliter la production d’anticorps. Le but de tout vaccin est d’obtenir dans le sang un taux élevé d’anticorps dirigés contre l’agent infectieux injecté. Plus ce taux d’anticorps est élevé, plus le vaccin est considéré comme immunogène. C’est pourquoi les scientifiques recherchent des produits qui, mélangés aux autres composants des vaccins, forcent l’organisme à produire beaucoup d’anticorps. Ces produits sont appelés adjuvants d’immunité.


Savoir ce que l’on injecte exactement lors d’une vaccination n’est pas chose facile. Pour un même vaccin les notices destinées au consommateur et les dossiers scientifiques à la disposition des professionnels de la santé peuvent légèrement différer ou être plus ou moins exhaustifs. De plus ces notices et ces dossiers peuvent aussi être légèrement différents suivant le pays auquel ils sont destinés. En ce qui concerne l’aluminium, le dosage est signalé soit en poids de sel d’aluminium, soit en poids de métal (Al+++ ).


Pour le vaccin INFANRIX HEXA la plupart des notices indiquent des chiffres se rapportant aux sels (Annexe 1), tandis que le Compendium suisse des médicaments indique pour ce même vaccin des chiffres se rapportant au métal (Al+++ ) (Annexe 2) .

Pour le vaccin HEXAVAC, certaines notices signalent la présence d’aluminium comme excipient mais sans dosage. D’autres notices signalent la présence d’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant avec son dosage. On serait en droit de croire qu’il s’agit de la quantité de sel. Nous nous sommes renseignés directement à la firme, dans deux pays différents, afin de savoir si le dosage indiqué concernait le poids du sel ou le poids du métal. A cette question on ne put nous répondre. Par contre, on nous certifia, dans ces deux pays, que le dosage en aluminium de l’HEXAVAC était identique à celui du PENTAVAC. Comme certaines notices du PENTAVAC renseignent la quantité d’aluminium en Al+++, nous en avons déduit que le dosage d’aluminium de l’HEXAVAC était bien un dosage d’ Al+++ , même si la notice ne l’indiquait pas. (Annexe 3).


Pour le vaccin TICOVAC, le site français de la firme Baxter signale la présence d’une solution d’hydroxyde d’aluminium à 2 %, tandis que l’information sur un site danois indique pour le TICOVAC junior, « adsorbé sur hydroxyde d’aluminium 0,5 mg » et pour le TICOVAC adulte « adsorbé sur aluminium d’oxyde hydraté (0,35 mg Al+++ ) ».


Pour le vaccin TETRACOQ, les sites français ne mentionnent pas le dosage d’hydroxyde d’aluminium. Un document émanant d’une succursale de la firme Aventis Pasteur, succursale située à Tallinn en Estonie, nous a permis de connaître le dosage de ce vaccin en Al+++.


Pour le vaccin PENTACOQ, produit comme le TETRACOQ par la firme Aventis Pasteur, nous supposons qu’il s’agit du même dosage que le TETRACOQ, mais, malgré de très nombreuses recherches, nous n’avons pu en avoir confirmation.


Pour le vaccin DIFTAVAX adulte un site italien cite le chiffre de 1.250 microg d’Al+++, tandis qu’un site anglais, pour ce même vaccin, cite les chiffres de 450 à 850 microg d’Al+++.


Ces exemples montrent que pour avoir des chances de connaître la composition exacte d’un vaccin, il est non seulement important de connaître le nom précis du vaccin mais aussi d’avoir à sa disposition différentes sources d’information.


Voici trois tableaux concernant quelques vaccins avec leur dosage en sels d’aluminium ou en aluminium métallique. L’objet de la présente étude étant limité à l’aluminium, nous ne parlerons pas des autres constituants des vaccins, également préoccupants pour la santé, comme les antibiotiques, le mercure, le formaldéhyde ou formol.

TABLEAU 2


NOM DU VACCIN


SEL(S) d’ALUMINIUM

Contenu(s) dans le vaccin


Poids du sel


(en microgramme)



Poids du métal (Al+++)

(en microgramme)


Infanrix Hexa

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a-Méningite à Haemophilus b - Poliomyélite-Hépatite B



Hydroxyde d’Aluminium

Phosphate d’Aluminium 

950

1.450

500

320


Infanrix-IPV-Hib

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a Méningite à Haemophilus b – Poliomyélite



Hydroxyde d’Aluminium




500


Infanrix-IPV

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a Poliomyélite



Hydroxyde d’Aluminium





500


Infanrix-Hib

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a

Méningite à Haemophilus b



Hydroxyde d’Aluminium



500


Infanrix

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a



Hydroxyde d’Aluminium



500


Hexavac

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a-Méningite à Haemophilus b - Poliomyélite-Hépatite B



Hydroxyde d’Aluminium




300


Pentavac

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a- Méningite à Haemophilus b – Poliomyélite



Hydroxyde d’Aluminium


300



Tetravac

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a-Poliomyélite-



Hydroxyde d’Aluminium


300



Pentact-HiB

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche - Méningite à Haemophilus b - Poliomyélite



Hydroxyde d’Aluminium




1.250


Pentacoq

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche- Méningite à Haemophilus b- Poliomyélite



Hydroxyde d’Aluminium




650   ?


Tetracoq

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche -Poliomyélite-



Hydroxyde d’Aluminium




650  

TABLEAU 3


NOM DU VACCIN


SEL(S ) d’ALUMINIUM

Contenu(s) dans le vaccin


Poids du sel


(en microgramme)



Poids du métal (Al+++)

(en microgramme)


Repevax

Diphtérie-Tétanos-Coqueluhe a Poliomyélite



Phosphate d’Aluminium 



330


Revaxis

Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite



Hydroxyde d’Aluminium




350


Combivax

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche



Phosphate d’Aluminium

Hydroxyde d’Aluminium 

(Algeldratum)

750

750



Boostrix

Diphtérie-Tétanos-Coqueluche a


Hydroxyde d’Aluminium

Phosphate d’Aluminium 



300

200


Tedivax Junior

Tedivax pro Adulto

Diphtérie-Tétanos



Hydroxyde d’Aluminium Hydroxyde d’Aluminium

(Algeldratum)

1.500

1.500



Diftavax

Diphtérie-Tétanos



Hydroxyde d’Aluminium



450 - 850


Tetavax

Tétanos



Hydroxyde d’Aluminium 



1.250


Tevax

Tétanos



Hydroxyde d’Aluminium  (Algeldratum)


1.500



Neisvac-C

Méningite C



Hydroxyde d’Aluminium



500


Meningitec

Méningite C



Phosphate d’Aluminium 



125


Menjugate

Méningite C



Hydroxyde d’Aluminium


1.000



TicoVac Junior

TicoVac Adulte

Méningo-encéphalite à tiques



Hydroxyde d’Aluminium Hydroxyde d’Aluminium


500


350


FSME Immun Inject

Méningo-encéphalite à tiques



Hydroxyde d’Aluminium



1.000



TABLEAU 4


NOM DU VACCIN


SEL(S ) d’ALUMINIUM

Contenu(s) dans le vaccin


Poids du sel


(en microgramme)



Poids du métal (Al+++)

(en microgramme)


Avaxim

Hépatite A



Hydroxyde d’Aluminium



300


Havrix Junior

Havrix Adulte

Hépatite A



Hydroxyde d’Aluminium

Hydroxyde d’Aluminium


475

950



Vaqta Junior

Vaqta Adulte

Hépatite A



Hydroxyde d’Aluminium Hydroxyde d’Aluminium




225

450


Hevac B Pasteur

Hépatite B



Hydroxyde d’Aluminium



1.250


Genhevac B Pasteur Hépatite B



Hydroxyde d’Aluminium




1.250


Recombivax

Hépatite B



Hydroxyphosphate d’Aluminium


500




HBVaxPro

Hépatite B


Sulfate d’hydroxyphosphate d’Aluminium



250



Engerix B Junior

Engerix B Adulte

Hépatite B



Hydroxyde d’Aluminium

Hydroxyde d’Aluminium

475

950




500


Twinrix Enfant

Hépatite A + Hépatite B


Twinrix Adulte

Hépatite A + Hépatite B


Hydroxyde d’Aluminium

Phosphate d’Aluminium 


Hydroxyde d’Aluminium

Phosphate d’Aluminium 



25

200


50

400
























Afin de comprendre ce que représente la quantité d’aluminium contenue dans 0,5 à 1 ml de vaccin, il est nécessaire de se remémorer que la quantité maximum admissible d’aluminium dans le sérum sanguin est de 15 microgrammes par litre de sérum.

Connaissant l’âge et le poids d’une personne 160,161 , ainsi que la quantité de plasma par kg de poids pour cet âge 162,163,164 , il nous est facile de calculer le volume plasmatique total de cette personne.

En multipliant ce volume, exprimé en litres, par 15, 15 microgrammes d’aluminium par litre de sérum étant le maximum admissible, nous obtenons un chiffre qui représente pour cette personne le nombre maximum admissible de microgrammes d’aluminium dans son plasma.

En divisant la quantité d’aluminium injectée avec le vaccin par la quantité maximale admissible d’aluminium dans l’ensemble du plasma de cette personne, nous obtenons un chiffre qui nous montre combien de fois cette dose maximale admissible est contenue dans le vaccin.



Le tableau 5 reprend ces différentes données.


Dans la colonne indiquant le poids, nous avons repris le poids moyen à l’âge considéré (Percentile 50) et fait la moyenne entre garçons et filles.


La quantité de plasma (en ml / kg de poids) a été déterminée en injectant chez des sujets un colorant, le Bleu Evans, qui colore le plasma mais ne peut pénétrer dans les globules. Les chiffres en italiques indiquent une extrapolation pour l’âge considéré car les déterminations n’ont pas été menées pour toutes les tranches d’âge.


Dans l’avant-dernière colonne nous avons indiqué la quantité d’Al+++ injectée avec le vaccin. Dans le tableau 5 les vaccins indiqués sont ceux du nouveau calendrier vaccinal 2004 de la communauté francophone belge.

TABLEAU 5

Suivant le calendrier vaccinal 2004 de la communauté francophone belge


AGE


POIDS


( 160,161 )







En Kg


Quantité de PLASMA par

Kg de poids de la personne




En ml / Kg


Quantité TOTALE de PLASMA dans le corps de la personne



En litre


Dose maximale

admissible d’Al+++

dans le plasma total




En microg


Quantité d’Al+++

contenue dans le vaccin considéré






En microg



Rapport entre

la quantité d’Al+++

vaccinal

et la quantité d’Al+++

de la totalité du plasma



Naissance


3,30



41,5 162


0,137


2,06




2 mois


4,87


51


0,248


3,72


820

(Infanrix Hexa)


220


3 mois


5,77


54 163


0,312


4,68


820

(Infanrix Hexa)


175


4 mois


6,54


54,5


0,356


5,34


820

(Infanrix Hexa)


153


6 mois



7,80


55 163


0,429


6,44




12 mois


9,80


52 163


0,510


7,64


525

(Menjugate)


69


15 mois


10,53


52


0,548


8,21


820

(Infanrix Hexa)


100


6 ans


20,80


51 163


1,061


15,91


300

(Tetravac)


19


10 ans



31


45 163


1,395


20,93




12 ans



39,25


43


1,688


25,32



15 ans


53,15


41 163


2,179


32,69


790

(Tedivax pro adulto)


24


Adulte Homme





41,1 164






Adulte Femme





40,5 164







Ce tableau permet, par exemple, de voir qu’un enfant de 15 mois qui reçoit son quatrième vaccin hexavalent de routine reçoit 100 fois la dose d’aluminium qui ne devrait pas être excédée dans son sérum sanguin.


Ce tableau permet également de calculer avec précision, si on connaît l’âge et le poids d’une personne, la quantité maximale admissible d’aluminium dans son sérum et de voir combien de fois cette quantité lui est injectée lorsqu’elle reçoit un vaccin contenant de l'aluminium.


Prenons l’exemple d’un homme adulte pesant 75 kg. Il a 75 x 41,1 = 3.082,5 ml de plasma. Son sérum ne devrait pas excéder 15 microg d’aluminium / litre, soit un total de 46,24 microg d’aluminium. En vue d’un voyage, il effectue un rappel DiTePer (BOOSTRIX) et une première dose de vaccin Hépatite A+B (TWINRIX). Il reçoit dès lors 950 microg d’aluminium, soit plus de 20 fois la dose totale d’aluminium tolérable dans son sérum sanguin.


Considérons encore un enfant de 4 mois qui pèse 5,910 kg. Il est situé dans le percentile 10, c’est-à-dire que son poids est à la limite inférieure de la normale. Son plasma total est de 5,910 x 54,5 = 322 ml soit 0,322 litre. La dose maximale admissible d’aluminium dans son sérum sera de 0,322 x 15 = 4,83 microg. S’il reçoit à ce moment son 3ième vaccin hexavalent (INFANRIX) , il reçoit 820 microg d’aluminium, soit 820 : 4,83 = 170 fois la dose maximale admissible d’aluminium que son sérum peut contenir.


Ce tableau 5 permet aussi de déduire que l’enfant de la communauté francophone belge, lorsqu’il aura atteint ses 15 ans, aura reçu, avec les seules vaccinations de routine, 4.895 microgrammes d’aluminium pur.





Après avoir vu les types d’immunisations pratiqués dans le sud de la Belgique, voyons maintenant ce qui se pratique dans le nord de la Belgique.

Dans le tableau 6 nous avons repris les mêmes données de base que dans le tableau 5 mais les vaccins indiqués sont ceux du nouveau calendrier vaccinal 2004 de la communauté néerlandophone belge.






TABLEAU 6

Suivant le calendrier vaccinal 2004 de la communauté néerlandophone belge


AGE


POIDS


( 160,161 )







En Kg


Quantité de PLASMA par

Kg de poids de la personne




En ml / Kg


Quantité TOTALE de PLASMA dans le corps de la personne



En litre


Dose maximale

Admissible d’Al+++

dans le plasma total




En microg


Quantité d’Al+++

contenue dans le vaccin considéré






En microg



Rapport entre

la quantité d’Al+++

vaccinal

et la quantité d’Al+++

de la totalité du plasma



Naissance


3,30



41,5 162


0,137


2,06




2 mois


4,87


51


0,248


3,72


820

(Infanrix Hexa)


220


3 mois


5,77


54 163


0,312


4,68


820

(Infanrix Hexa)


175


4 mois


6,54


54,5


0,356


5,34


820

(Infanrix Hexa)


153


6 mois



7,80


55 163


0,429


6,44




12 mois


9,80


52 163


0,510


7,64


500

(Neisvac-C)


69


15 mois


10,53


52


0,548


8,21


820

(Infanrix Hexa)


100


6 ans


20,80


51 163


1,061


15,91


500

(Infanrix Tetra)


19


10 ans



31


45 163


1,395


20,93




12 ans



39,25


43


1,688


25,32



15 ans


53,15


41 163


2,179


32,69


790

(Tedivax pro adulto)


24


Ce tableau permet de voir que l’enfant de la communauté néerlandophone belge, lorsqu’il aura atteint ses 15 ans, aura reçu, avec les seules vaccinations de routine, 5.070 microgrammes d’aluminium pur.

En Belgique, avec les vaccinations de routine, le petit flamand reçoit, durant ses 15 premières années, 175 microgrammes d’aluminium de plus que le petit wallon…


C’est sans conteste la première vaccination qui donne l’intoxication aiguë  à l’aluminium la plus forte.

Analysons la première injection d’INFANRIX HEXA que subit le nourrisson de 2 mois et demandons-nous, en regardant le tableau ci-après, dans quelle mesure il risquerait de subir des dommages neurologiques.


La 1ière colonne reprend les valeurs normales et pathologiques d’aluminium par litre de sérum.


La 2ième colonne reprend la quantité d’aluminium correspondante dans l’ensemble du sérum de cet enfant de 2 mois.


La 3ième colonne reprend la quantité d’aluminium contenue dans le vaccin hexavalent Infanrix.


La 4ième colonne indique le nombre par lequel la quantité d’aluminium considérée de la 2ième colonne est multipliée en recevant le vaccin INFANRIX HEXA.


TABLEAU 7


Al+++

dans 1 litre de sérum



En microg



Al+++

dans les 0,248 l

de sérum d’un nourrisson de 2 mois


En microg


Al+++

dans le vaccin

INFANRIX HEXA




En microg


Rapport

entre la quantité d’Al+++ vaccinal

et la quantité d’Al+++ de la totalité du sérum



4

Taux normal



0,992


820


827


10

Limite supérieure



2,480


820


330


15

Taux maximum admissible



3,720


820


220


60

Taux donnant des altérations des fonctions supérieures



14,880


820


55


100

Taux provoquant une encéphalopathie



24,800


820


33

Ce tableau 7 fait comprendre que la dose d’aluminium contenue dans un vaccin, et en particulier dans l’INFANRIX HEXA, est fort importante.


En effet, avec son premier vaccin hexavalent, ce nourrisson de deux mois reçoit  :


827 fois la dose d’aluminium considérée comme normale, pour lui, dans son sérum,

330 fois la dose d’aluminium considérée comme limite supérieure, pour lui, dans son sérum.

220 fois la dose d’aluminium considérée comme maximum admissible, pour lui, dans son sérum,

55 fois la dose d’aluminium capable de lui causer, si elle se trouve dans son sérum, des troubles du système nerveux, et

33 fois la dose d’aluminium capable de provoquer chez lui, si elle se trouve dans son sérum, une encéphalopathie.



De plus, il ne faut pas oublier que les vaccinations ne sont pas la seule source d’aluminium pour le nouveau-né. Il peut aussi subir une intoxication aluminique dûe à la prise par sa mère d’un excès d’aluminium, soit durant sa grossesse, soit durant la période d’allaitement. Cet excès d’aluminium peut être dû, par exemple, à des aliments, des boissons, des médicaments, des produits cosmétiques ou encore à des vaccins. L’enfant peut aussi être né prématurément et avoir reçu des perfusions contenant de l’aluminium, ou encore avoir été nourri avec des préparations plus riches en aluminium que le lait maternel. Dans tous ces cas l’aluminium sérique risque déjà de poser un problème avant vaccination et celle-ci ne fera qu’augmenter encore considérablement ce problème.


Avec l’ INFANRIX HEXA, et comme signalé dans la notice de ce vaccin, on peut rencontrer fréquemment chez le petit vacciné des symptômes tels que de l’irritabilité, de la fatigue, de l’agitation, des pleurs inhabituels, des pertes d’appétit. Ces symptômes, souvent attribués à des causes psychologiques et affectives, sont en fait les premiers signes d’une souffrance cérébrale.


Avançant en âge, l’enfant recevra d’autres vaccins, les vaccins de routine suivant le calendrier vaccinal, mais aussi éventuellement d’autres vaccins, par exemple lors de séjours à l’étranger ou en cas de plaie. Plus les séances de vaccination sont rapprochées, plus grand est le danger d’accumulation de l’aluminium car le temps risque alors de manquer à l’organisme pour éliminer les doses d’aluminium reçues.


La plupart des vaccins sont administrés par voie intra-musculaire. Cette manière d’injecter a été recommandée depuis plus de 20 ans pour améliorer la tolérance lors de l’administration d’un vaccin contenant un adjuvant aluminique. Mais elle n’empêche bien sûr pas le passage dans le sang des composants du vaccin. Dans quelle mesure et à quelle vitesse l’aluminium vaccinal, de son site d’injection musculaire, passe-t-il dans la circulation sanguine ? Nous ne le savons pas de manière précise, aucune étude n’ayant été faite à ce propos.



Quel est donc le devenir de l’aluminium injecté lors d’une vaccination ?


Avant d’être éliminé du muscle par la circulation sanguine, l’aluminium aura le temps de créer des réactions locales indésirables. Rougeur et gonflement au site d’injection sont les premiers signes d’une réaction et sont considérés comme des réactions indésirables légères et mineures, elles sont très fréquentes, bien que le vaccin soit injecté en intra-musculaire.


Les recherches suivantes nous montrent quel peut être à long terme le devenir de l’aluminium vaccinal chez certaines personnes.


De 1993 à 1997, en France, 18 cas d’une nouvelle pathologie ont été identifiés par biopsie musculaire dans des centres d’anatomo-pathologie, membres du groupe de recherche sur les maladies musculaires acquises et dysimmunitaires (GERMMAD). Les personnes chez qui l’on avait pratiqué cette biopsie musculaire se plaignaient surtout de douleurs musculaires et articulaires, d’une faiblesse musculaire et d’une très grande fatigue. C’étaient des personnes adultes, des deux sexes, d’un âge moyen de 45 ans. La lésion, trouvée chez elles, n’avait jamais été décrite dans d’autres maladies musculaires. Elle était caractérisée par des globules blancs envahissant le muscle et ses enveloppes, les fascias. Ces globules blancs, des macrophages impliqués dans le fonctionnement du système immunitaire, étaient porteurs d’inclusions micro-cristallines, visibles, après coloration, au microscope électronique. Cette pathologie, où l’on retrouve cette lésion tissulaire ou histologique, fut appelée « myofasciite à macrophages » 165.

En 1998, le professeur GHERARDI, fit part au monde scientifique de cette découverte en relatant ces 18 premiers cas 166,167,168.

En avril 1999, grâce à des techniques spéciales physico-chimiques (micro-analyse aux rayons X et spectrométrie d’absorption atomique) la nature des inclusions retrouvées dans les macrophages put être précisée. Il s’agissait de cristaux de sels d’aluminium. L’hypothèse fut émise que la lésion histologique pouvait constituer une réaction anormale à l’injection de vaccins adjuvés aux sels d’aluminium. Comme 94 % à 100 % des patients biopsiés avaient reçu une injection de vaccin aluminique dans les 10 années précédant la biopsie, une association entre la présence d’aluminium dans la lésion histologique et l’injection de vaccin contenant de l’aluminium apparaissait hautement probable 169.


Afin de répondre aux problèmes de sécurité vaccinale, l’Organisation mondiale de la Santé a créé un Comité consultatif, nommé GACVS (Global Advisory Committee on Vaccine Safety). En septembre 1999, ce Comité tint sa première session à Genève. Après avoir examiné le problème de la myofasciite à macrophages, ce Comité a reconnu comme probable le lien entre la lésion histologique et l’aluminium des vaccins et recommandé vivement « d’entreprendre des recherches afin d’évaluer les aspects cliniques, épidémiologiques, immunologiques et biologiques de cette pathologie ». Il a cependant estimé « ne disposer à l’heure actuelle d’aucun élément qui justifierait de recommander la modification des pratiques vaccinatoires (choix du vaccin, calendrier de vaccination, modes d’administration ou information) dans le cas de vaccins contenant de l’aluminium » 170 .


Le diagnostic de certitude de la myofasciite à macrophages  est obtenu par la biopsie musculaire révélant une lésion histologique caractérisée par la présence de macrophages contenant de l’aluminium. Sous peine de donner un résultat faussement négatif, la biopsie musculaire doit être faite au site d’injection du vaccin, généralement le muscle deltoïde du bras ou le muscle quadriceps de la cuisse 169. Plus personne aujourd’hui ne met en doute la relation de cause à effet entre cette lésion, reproductible chez l’animal d’expérience 169, et l’aluminium vaccinal 169,171,172. Des recherches sont entreprises pour trouver une méthode moins invasive que la biopsie qui soit capable de permettre un diagnostic de certitude de la myofasciite à macrophages  173.

Lorsque des patients se plaignent de douleurs ou de faiblesses musculaires, avant de poser le diagnostic de myofasciite à macrophages, il faut exclure d’autres maladies musculaires 174,175,176 . La myofasciite à macrophages peut aussi se retrouver associée à d’autres maladies musculaires, ce qui compliquera le diagnostic 177,178 .


Comme indiqué plus haut, les symptômes de cette nouvelle maladie qu’est la myofasciite à macrophages ne se limite pas à des symptômes musculaires locaux, mais peut affecter tout l’état général : faiblesse musculaire, douleurs musculaires et articulaires, fièvre, céphalées, fatigue chronique, ensemble de symptômes que l’on peut aussi rencontrer dans le syndrome de fatigue chronique.

Il peut aussi y avoir altération de certaines valeurs sanguines comme une augmentation de la vitesse de sédimentation et de la protéine-C-réactive, paramètres augmentés lors d’inflammation ou d’infection bactérienne, ainsi qu’une élévation dans le sérum sanguin du taux de la créatine-phosphokinase, un enzyme du muscle 167 . Tous ces éléments seraient les indices d’une stimulation permanente et épuisante du système immunitaire via les macrophages .

Dans le sérum de patients atteints de myofasciite à macrophages on peut aussi noter une baisse significative du sélénium et de la vitamine E, substances indispensables pour lutter contre le vieillissement 179.

Chez certains patients atteints de myofasciite à macrophages on peut voir des désordres du système nerveux semblables à ceux rencontrés chez les patients atteints de la sclérose en plaques 180.

Les mêmes symptômes que ceux de la myofasciite à macrophages se retrouvent chez les vétérans atteints du syndrome de la Guerre du Golfe. Myofasciite à macrophages et syndrome de la Guerre du Golfe seraient des maladies semblables dues aux vaccinations 181.


Depuis les premières observations, le nombre de cas détectés de la myofasciite à macrophages n’a cessé d’augmenter, non seulement en France 182, mais aussi dans d’autres pays 183,184 . La maladie, que l’on croyait limitée à l’adulte, peut également affecter l’enfant 185,186 et même le nourrisson 187.

Afin d’éviter cette nouvelle maladie, certains préconisent d’abandonner la vaccination par voie intra-musculaire et de revenir à la vaccination par voie sous-cutanée.

L’injection sous-cutanée provoquerait-elle moins de dégâts ? Rien n’est moins sûr.

L’injection sous-cutanée peut aussi donner lieu à des réactions locales indésirables. Suite à des vaccinations sous-cutanées répétées avec des vaccins contenant de l’aluminium, des nodules sous-cutanés peuvent se former et persister. La micro-analyse aux rayons X a montré la présence d’aluminium dans les macrophages de ces nodules 188 .

L’injection sous-cutanée risque aussi de provoquer des symptômes généraux. Une étude comparative effectuée sur des lapins eut pour but d’évaluer la toxicité de l’aluminium, injecté soit par voie intra-cérébrale (une dose unique dans chaque ventricule cérébral), soit par voie sous-cutanée (doses fractionnées pendant un mois). Les résultats montrent qu'il faut un délai de 12 jours pour provoquer une encéphalopathie aluminique chez les lapins qui ont reçu l’aluminium directement dans leur cerveau et un délai de 18 jours après la dernière piqûre pour provoquer la même réaction chez les lapins ayant reçu l’aluminium par voie sous-cutanée. Autrement dit, la voie sous-cutanée induit les mêmes réactions sur le système nerveux que la voie intra-cérébrale mais d’une manière un peu moins rapide 189.


L’Organisation mondiale de la Santé considère la vaccination «  comme l’une des interventions les plus rentables parmi tout l’arsenal dont dispose la santé publique ». Elle ajoute toutefois « qu’aucun vaccin n’est rigoureusement sans danger ou totalement efficace chez toutes les personnes vaccinées. » 190  


L’histoire de la vaccination montre en effet que les vaccins peuvent causer de sérieux problèmes neurologiques : autisme après vaccin anti-rougeole, sclérose en plaques après vaccin hépatite B, méningo-encéphalite après vaccin de l’encéphalite japonaise, syndrome de Guillain-Barré et artérite à cellules géantes suite au vaccin anti-grippe, myofasciite à macrophages due à l'aluminium vaccinal, troubles nerveux causés par le mercure vaccinal. Les vaccins pourraient aussi provoquer une nouvelle variante de la maladie de Creutzfeld-Jakob, en effet les cultures cellulaires destinées à la production de vaccins sont nourries avec du sérum de veau 191 .


Le Comité consultatif mondial de la sécurité vaccinale (GACVS) a tenu sa dixième session à Genève les 10 et 11 juin 2004. Il a examiné, entre autre, la sécurité des adjuvants des vaccins. La réunion concernant ce sujet s’est tenue avec des chercheurs tant des milieux universitaires que du milieu industriel ainsi qu’avec des experts en matière de réglementation des vaccins.

Le Comité a reconnu que « l’innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé » et « qu’il n’existe pas de modèle animal validé pour tester la sécurité des adjuvants » . Il ajoute qu’il faudrait tester les vaccins et leurs adjuvants en tenant compte de réactions indésirables rares et inhabituelles. Il estime que les études cliniques, qui précèdent l’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin, sont conduites sur un trop petit nombre de personnes pour permettre de prévoir ces réactions peu courantes 192.

Le GACVS propose que l’OMS « serve d’instance chargée d’assurer le dialogue et le conseil relatifs aux normes techniques et scientifiques sur les adjuvants et leur innocuité, d’élaborer les normes correspondantes et de définir les principes qui régissent la réglementation applicable à la sécurité des adjuvants » 192.


Le GACVS reconnaît donc que la recherche au sujet de l’innocuité des adjuvants des vaccins est un domaine en friche et que beaucoup reste encore à faire pour assurer la sécurité de ces produits. Certains pensent que remplacer l’aluminium par un autre adjuvant demandera du temps et coûtera beaucoup d’argent 193.


L’OMS se préoccupe donc maintenant de la sécurité des adjuvants des vaccins mais elle semble malgré tout réticente à modifier ses programmes de vaccination.

C’est ainsi qu’en 1999, lors de l’examen du dossier de la myofasciite à macrophages, elle affirma que rien ne devait être changé à propos des vaccins contenant des sels d’aluminium, ni dans l’information concernant ces produits, ni dans leur administration.

Elle eut une réaction similaire lors de la parution, en septembre 2004,  de l’étude de Hernan et al. qui mettait en cause l’aluminium et le mercure du vaccin hépatite B. Cette étude montre le lien entre la vaccination hépatite B et la sclérose en plaques : dans les 3 ans suivant la dernière injection du vaccin hépatite B, le risque d’attraper la sclérose en plaques est 3,1 fois plus élevé chez les vaccinés que chez les non vaccinés 194. Dès la parution de cette étude le GACVS a réagi et fait paraître une mise au point sur le site internet de l’OMS en précisant que « les données et les arguments présentés par Hernan et al. sont insuffisants pour soutenir l’hypothèse d’une association entre vaccination contre l’hépatite B et sclérose en plaques, et ne justifient pas l’interruption ou la modification des programmes de vaccination contre l’hépatite B. Le bénéfice de santé publique de ces programmes à travers le monde n’est plus à démontrer. » 195


Dans des publications, faites par des chercheurs attachés à l’industrie pharmaceutique, nous pouvons lire que tous les composants des vaccins nécessiteraient des études spécifiques, telles qu’on l’exige pour tout nouveau médicament 196 , et qu’il faudrait particulièrement examiner l’action toxique des composants des vaccins sur le développement embryonnaire 197.


L’OMS reconnaît l’absence de critères sérieux de sécurité pour les adjuvants des vaccins mais refuse de prendre en compte les études montrant les dangers de ces adjuvants, en particulier ceux de l’aluminium.


La toxicité de l’aluminium est une réalité. Chaque bébé qui naît dans le monde est, à l’heure présente, assuré, voire obligé, de recevoir avec les vaccins une quantité d’aluminium qui peut altérer gravement sa santé.

Puisse l’avenir apporter plus de prudence et de logique chez les responsables de la santé.



EN RESUME




L’aluminium est un métal fort répandu dans la nature puisqu’il constitue environ 8 % de l’écorce terrestre. C’est un métal léger largement utilisé par l’homme.

Il s’agit malheureusement d’un métal toxique pour le système nerveux central, capable de jouer un rôle prépondérant dans l’apparition et l’évolution de certaines maladies de dégénérescence du système nerveux telles la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique et la maladie d’Alzheimer, la plus fréquente des démences des personnes âgées. L’aluminium peut aussi être toxique pour les os, les poumons, les parathyroïdes.


L’aluminium peut pénétrer dans l’organisme par inhalation, par contact, par ingestion et par injection qu’elle soit intra-veineuse, intra-musculaire ou sous-cutanée.

L’aluminium qui passe par la voie digestive peut être excrété en partie par les selles. L’aluminium qui est véhiculé par le sang peut être éliminé en partie par les reins.


L’accumulation de l’aluminium dans les organes est variable suivant les individus et dépend de nombreuses circonstances. Un apport plus important d’aluminium par l’une des voies de pénétration, un passage plus important dans le sang au niveau intestinal, une élimination moindre au niveau rénal, peuvent faciliter cette accumulation. Nourrissons et personnes âgées sont spécialement susceptibles d’accumuler l’aluminium et d’en subir les méfaits. Ce sont deux groupes à risque qu’il faut, à ce propos, particulièrement surveiller.


Le mode de transport de l’aluminium dans le sang facilite son accumulation dans le cerveau.

En effet, dans le plasma sanguin 60 % de l’aluminium est lié à la protéine qui transporte le fer, la transferrine, ce qui permet à l’aluminium de passer aisément dans le cerveau qui contient de nombreux récepteurs de la transferrine.

L’aluminium forme également une liaison avec une autre protéine du plasma sanguin, l’albumine. Cette dernière ne peut passer dans le cerveau que lors d’une altération de la barrière sang-cerveau. Cette barrière sang-cerveau peut être altérée par divers facteurs, retenons-en deux ici.

Tout d’abord l’aluminium possède lui-même une action toxique directe sur cette barrière protectrice du cerveau.

Un second facteur d’altération de cette barrière sang-cerveau est constitué par les hyperfréquences, particulièrement celles utilisées en radiotéléphonie mobile. Ces hyperfréquences permettent donc à l’albumine, substance neurotoxique, de passer cette barrière et de pénétrer dans les centres nerveux, exerçant avec l’aluminium qui lui est éventuellement lié, des effets néfastes.


Les vaccins contenant de l’aluminium peuvent non seulement provoquer des réactions locales au site d’injection, mais aussi des symptômes généraux durables, comme de la fatigue, de la fièvre, des douleurs musculaires et articulaires. Cet ensemble de symptômes constitue une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages, qui a été mise en évidence pour la première fois en 1993. Les symptômes qui l’accompagnent ressemblent étrangement à ceux du syndrome de fatigue chronique et à ceux du syndrome de la Guerre du Golfe.


L’OMS reconnaît que, dans les vaccins, « l’innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé », ce qui ne l’empêche pas de continuer à promouvoir ses programmes de vaccination sans vouloir, jusqu’à présent, changer quoi que ce soit, ni dans l’information au sujet des vaccins contenant des sels d’aluminium, ni dans les programmes d’administration de ces mêmes vaccins.





















CONCLUSIONS


La réactivité d’une personne à un polluant tel que l’aluminium reste toujours compliquée à évaluer.

Il est difficile de prévoir quels seront les effets secondaires induits chez un adulte par l’injection d’un vaccin contenant de l’aluminium.

Mais prévoir la réaction d’un nouveau-né à ce même vaccin est encore beaucoup plus aléatoire. La connaissance de la réactivité d’un nourrisson reste hypothétique. Qu’en est-il de son métabolisme, de l’état de ses reins, de son foie, de son système digestif, de son cerveau ? S’il ne reçoit pas le sein, quelle nourriture et quelle boisson lui donne-t-on et s’il le reçoit, quels sont les médicaments ou cosmétiques utilisés par sa mère ? Quel est son environnement électromagnétique ?


Force nous est de constater notre ignorance de l’impact que peut avoir sur un nourrisson, un enfant ou un adulte, une injection de vaccin contenant de l’aluminium et, a fortiori, les conséquences à long terme sur le fonctionnement de son cerveau .


Les vaccinations de routine et les vaccinations de masse se font généralement sans examens préalables. Aucun examen sanguin n’est exigé avant une vaccination et certainement pas un examen spécial qui déterminerait la quantité d’aluminium déjà présente dans le sang du futur vacciné. Il serait d’ailleurs inconvenant, financièrement, de proposer aux parents toute une batterie de tests destinés à savoir si l’enfant à vacciner a des chances de supporter sans dommage la vaccination prévue, qu’elle soit obligatoire ou non.




Au vu de tout ce qui précède,


- nous demandons que l’information sur les dangers potentiels de l’aluminium fasse partie intégrante du geste vaccinal aussi bien lors des vaccinations de routine que lors des campagnes de vaccination.


- nous demandons que tout citoyen soit entièrement libre d’accepter ou de refuser, pour lui et pour ses enfants, une vaccination faite avec un vaccin contenant de l'aluminium.



ANNEXE 1


Sources :

-Compendium 2004 de pharma.be-Association générale de l’industrie du médicament (Asbl)

-Notice accompagnant le vaccin.

INFANRIX HEXA (GlaxoSmithKline)

Association de 6 vaccins : DTPa + Hib + Polio + Hépatite B


Poudre lyophilisée de


Polyoside d’Haemophilus influenzae type b 10 microg.

Conjugué à l’anatoxine tétanique 20-40 microg.

Adsorbé sur phosphate d’aluminium


Solvant contenant


Anatoxine diphtérique minimum 30 UI

Anatoxine tétanique minimum 40 UI

Antigènes coquelucheux

Anatoxine pertussique 25 microg.

Hémagglutinine filamenteuse 25 microg.

Pertactine 8 microg.

Les anatoxines diphtériques et tétaniques sont détoxifiées par le formaldéhyde puis purifiées et adsorbées sur oxyde d’aluminium hydraté.

Les antigènes coquelucheux sont obtenus par extraction et purification de cultures de phase I de Bordetella pertussis, suivi d’une détoxification irréversible de la toxine pertussique par le glutaraldéhyde et le formaldéhyde, et d’un traitement de l’hémagglutinine et de la pertactine par le formaldéhyde.


HBs-Ag 10 microg.


L’Antigène de surface du virus de l’hépatite B recombinant est produit sur des cellules de levure génétiquement modifiées (Saccharomyces cerevisiae).


Virus poliomyélitique inactivé

Type 1 Souche Mahoney 40 U de l’Ag D

Type 2 Souche MEF-1 8 U de l’Ag D

Type 3 Souche Saukett   32 U de l’Ag D


Les poliovirus sont cultivés sur cellules Véro (lignée cellulaire continue de reins de singe), purifiés et inactivés par le formaldéhyde.


Excipients comprenant


Lactose anhydre

Chlorure de sodium (NaCl)

Phenoxyéthanol 2.500 microg

Oxyde d’aluminium hydraté (Al(OH)3) 950 microg

Phosphate d’aluminium (AlPO4) 1.450 microg

Milieu 199 contenant principalement des acides aminés

Sels minéraux

Vitamines

Eau pour préparations injectables pour 0,5 ml

ANNEXE 2


Sources : Compendium Suisse des Médicaments (2004)


INFANRIX HEXA (GlaxoSmithKline)

Association de 6 vaccins : DTPa + Hib + Polio + Hépatite B

Poudre lyophilisée de


Polysaccharide capsulaire

d’Haemophilus influenzae type b 10 microg.

Conjugué à l’anatoxine tétanique 20-40 microg.

Adsorbé sur phosphate d’aluminium (AlPO4) 120 microg. d’Al+++

Lactose 12.600 microg


Solvant contenant


Anatoxine diphtérique minimum 30 UI

Anatoxine tétanique minimum 40 UI

Antigènes coquelucheux

Anatoxine pertussique 25 microg.

Hémagglutinine filamenteuse 25 microg.

Pertactine 8 microg.

Les anatoxines diphtérique et tétanique sont détoxifiées par le formaldéhyde puis purifiées et adsorbées sur oxyde d’aluminium hydraté.

Les antigènes coquelucheux sont obtenus par extraction et purification de cultures de phase I de Bordetella pertussis, suivi d’une détoxification irréversible de la toxine pertussique par le glutaraldéhyde et le formaldéhyde, et d’un traitement de l’hémagglutinine et de la pertactine par le formaldéhyde.


HBs-Ag 10 microg.


L’Antigène de surface du virus de l’hépatite B recombinant est produit sur des cellules de levure génétiquement modifiées (Saccharomyces cerevisiae).


Virus poliomyélitique inactivé

Type 1 Souche Mahoney 40 U de l’Ag D

Type 2 Souche MEF-1 8 U de l’Ag D

Type 3 Souche Saukett   32 U de l’Ag D


Les poliovirus sont cultivés sur cellules Véro (lignée cellulaire continue de reins de singe), purifiés et inactivés par le formaldéhyde.


Chlorure de sodium (NaCl) 4.500 microg

2-Phenoxyéthanol 2.500 microg

Oxyde d’aluminium hydraté (Al(OH)3) 500 microg d’Al+++

Phosphate d’aluminium (AlPO4) 200 microg d’Al+++

Medium 199 (stabilisateur) traces

Chlorure de potassium (KCl)

Phosphate disodique (Na2PO4) et Phosphate dihydrogénique de potassium (KH2PO4)

Polysorbate 20 et Polysorbate 80

Glycine

Formaldéhyde

Sulfate de néomycine et Sulfate de polymyxine

Eau pour préparations injectables pour 0,5 ml

ANNEXE 3


Sources :

- A partir de notices de différents pays où le vaccin est commercialisé (Internet).

HEXAVAC (Aventis Pasteur MSD)

Association de 6 vaccins : DTPa + Hib + Polio + Hépatite B


Principes actifs  :


Anatoxine diphtérique purifiée au moins 20 UI (30 Lf)

Anatoxine tétanique purifiée au moins 40 UI (10 Lf)

Anatoxine coquelucheuse purifiée (PTxD) 25 microg.

Hémagglutinine filamenteuse purifiée (FHA) 25 microg.

Antigène de surface de l’hépatite B (Ag HBs) 5 microg.

Virus poliomyélitique inactivé

Type 1 Souche Mahoney 40 U de l’Ag D

Type 2 Souche MEF-1 8 U de l’Ag D

Type 3 Souche Saukett   32 U de l’Ag D

Polyoside d’Haemophilus influenzae type b

(polyribosylribitol phospate ou PRP) 12 microg.

conjugué à l’anatoxine tétanique 24 microg.

Adjuvé sur Hydroxyde d’aluminium 300 microg. d’Al +++


Les anatoxines diphtérique et tétanique sont préparées à partir de toxines extraites de culture de Corynebacterium diphteriae et Clostridium tetani. Elles sont inactivées par le formaldéhyde puis purifiées.

L’Antigène de surface du virus de l’hépatite B est produit par culture d’une souche recombinante 2150-2-3 de cellules de levure (Saccharomyces cerevisiae).

Le vaccin poliomyélitique est obtenu par cultures des virus poliomyélitiques type 1,2,3 sur cellules Véro (lignée cellulaire continue de reins de singe). Ces cultures sont purifiées puis inactivées par le formaldéhyde.

Les composants coquelucheux acellulaires (PT) et (FHA) sont extraits de culture de Bordetella pertussis puis purifiés séparément. La toxine coquelucheuse (PT) est inactivée par le glutaraldéhyde et donne l’anatoxine (PTxD). Le (FHA ) est natif.


Excipients comprenant :


Hydroxyde d’aluminium

Phosphate disodique

Phosphate monopotassique

Carbonate de sodium

Bicarbonate de sodium

Trometamol (substance antibiotique)

Saccharose

Milieu 199 (mélange complexe d’acides aminés

de sels minéraux

de vitamines

et autres ingrédients )

Néomycine, Polymyxine B, Streptomycine Traces indétectables

Eau pour préparations injectables pour 0,5 ml

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